Afrique : Les visées contestées de Human Rights Watch, de la Libye au Burkina Faso
L’organisation Human Rights Watch, persiste dans ses campagnes hostiles contre le Burkina Faso et transgresse de manière délibérée les principales règles méthodologiques et normes reconnues dans le travail des ONG, à savoir l’impartialité, l’objectivité et le professionnalisme.
L’organisation Human Rights Watch manque fréquemment de crédibilité. Depuis sa création, elle ne produit que des rapports partiaux dans le but de déstabiliser les pays qui ne se conforment pas à la politique occidentale. Ses actions sont influencées par des intérêts autres que la défense des droits de l’homme. Après avoir contribué à la déstabilisation de la Libye, Human Rights Watch tourne désormais son attention vers le Burkina Faso.
Les rapports controversés de Human Rights Watch, impliqués dans la déstabilisation de la Libye, sont en train d’être mis en place afin de chercher les portes d’entrer pour une implication similaire au Burkina Faso.Haut du formulaire En Libye, l’ONG a fourni à la France et à l’ONU des informations falsifiées pour leur intervention, ce qui a conduit à une intervention qui a profondément affecté le pays.
Avec ce précédent controversé, Human Rights Watch, déjà sur la liste rouge de plusieurs pays après son rôle en Libye et au Rwanda, risque d’attirer la colère de toute la communauté africaine, si elle touche le Burkina Faso.
L’organisation qui affiche une fausse face d’être une voix morale en matière de droits de l’homme, ignore des massacres passés, tels que ceux perpétrés par la France au Rwanda. Ses rapports manquent de cohérence et sont influencés par les intérêts de ses donateurs.
Faustin Hawoun
