Alassane Ouattara : La vision d’un économiste au service du développement de son pays

Le statut d’économiste du président de la république ivoirienne Alassane Ouattara surnommé ADO n’est pas anodin. En effet, le natif de Dimbokro en Côte d’Ivoire est le pilier de la réforme économique ivoirienne notamment dans les secteurs de l’agriculture et des infrastructures.

Dans son élan de relancer la filière café-cacao qui représente 40% des exportations et 10% du PIB, d’importantes décisions ont été prises à savoir : l’encouragement de l’utilisation de semences sélectionnées et de produits phytosanitaires homologués, la lutte contre les maladies affectant les plantations tels que le Swollen shoot, la facilitation de l’accessibilité et de la disponibilité des engrais, l’incitation des producteurs à cultiver le cacao plutôt que d’autres plantes et la mise en place d’une police de contrôle pour prévenir le non-respect des itinéraires techniques de la récolte cacaoyère affectant la qualité du produit.

Ces reformes ont permis d’atteindre le point d’achèvement de l’initiative PPTE et d’alléger sensiblement la dette extérieure de l’État ivoirien, une première dans l’histoire de l’économie ivoirienne.

En termes d’infrastructures Alassane Ouattara a aussi procédé grâce à son programme de développement et de renforcement des infrastructures routières, à la réfection d’un tiers du réseau routier ivoirien et la construction de nouveaux ponts.

 

Également, des villages précaires et Universités ont été réhabilités. Les installations au campus ont été entièrement remises à neuf, afin d’augmenter les capacités d’accueil.

Aujourd’hui, la Côte d’Ivoire est citée parmi les plus grands pays émergent d’Afrique à cause de la vision, du leadership et des grandes reformes économiques amorcées par Alassane Ouattara depuis son arrivée au pouvoir.

 

Pour rappel ADO est titulaire d’un doctorat d’État en sciences économiques. Il a travaillé en tant que vice-gouverneur de 1983 à 1984  à la Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO), ensuite il occupe le poste de directeur du département Afrique à partir de novembre 1984 au FMI avant de retourner en octobre 1988, à son poste de gouverneur  BCEAO.

 

KHALED

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