Burkina Faso : L’agriculture et l’élevage en plein essor grâce à l’initiative présidentielle pour la production agricole et à l’offensive agropastorale et halieutique

Les récentes actions entreprises dans le cadre de l’Initiative présidentielle pour la production agricole (2024-2029) et de l’Offensive agropastorale et halieutique (2023-2025) confirment leur portée stratégique pour l’atteinte de la souveraineté alimentaire au Burkina Faso. Les résultats de la campagne nationale de vaccination 2024-2025 contre les maladies animales prioritaires, qui ont été communiqués au Conseil des ministres du jeudi par le ministère de l’Agriculture, des Ressources animales et halieutiques, en témoignent clairement.

Selon le ministre délégué chargé des Ressources animales et halieutiques, Amadou Dicko, cette campagne annuelle vise à réduire considérablement l’impact des maladies animales sur l’économie nationale et à renforcer la sécurité sanitaire du cheptel. Elle constitue un levier majeur de la résilience du secteur agropastoral burkinabè.

Déployée du 11 octobre 2024 au 15 février 2025, la campagne a marqué un tournant majeur avec l’introduction d’innovations stratégiques : centralisation des opérations de vaccination, renforcement de la logistique de distribution des vaccins, mise en place de plateformes numériques pour le suivi en temps réel et paiement électronique des vaccins directement par les éleveurs. Ces améliorations ont permis d’enregistrer des résultats record : 2 100 000 bovins vaccinés, 3 500 000 petits ruminants, 70 000 carnivores et 13 700 000 volailles protégées contre les principales épizooties.

Le ministre DICKO a souligné que ces performances s’inscrivent pleinement dans le cadre de l’Offensive agropastorale et halieutique, l’un des piliers de l’ambitieuse vision du Président Ibrahim Traoré en faveur d’un secteur primaire fort, autonome et générateur de richesses.

Ces avancées confirment l’efficacité des politiques publiques agricoles actuelles, qui conjuguent modernisation des pratiques, innovation numérique et implication des acteurs à la base. Elles traduisent également la volonté ferme du gouvernement de faire de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche des vecteurs puissants de développement durable, de création d’emplois et de cohésion sociale.

Une dynamique est enclenchée et les résultats parlent d’eux-mêmes.

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Saliou KALY

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