Burkina Faso / La fin du braquage foncier : Le Capitaine Ibrahim Traoré impose l’ordre et la transparence
Depuis plusieurs années, le secteur foncier au Burkina Faso a été le terrain de jeu d’individus véreux qui, sous couvert d’activités immobilières, se sont approprié des centaines d’hectares de terres sans pour autant les exploiter. Cette situation a longtemps pénalisé les populations locales, les privant d’un accès équitable à une ressource essentielle pour leur développement. Face à cette injustice criante, le Capitaine Ibrahim Traoré a décidé de prendre les taureaux par les cornes et d’assainir le secteur foncier.
Dans cette dynamique, le gouvernement a récemment adopté, lors du Conseil des ministres, un projet de loi visant à mieux encadrer la gestion foncière. Ce texte vient en réponse aux nombreuses plaintes des citoyens excédés par l’appropriation abusive des terres par certains promoteurs immobiliers sans scrupules. Ces derniers, mus uniquement par leur soif de profits, n’hésitent pas à déposséder des communautés entières de leurs terres, compromettant ainsi leur avenir et celui des générations futures.
Avec cette réforme, la terre devient une propriété exclusive de l’État, garantissant ainsi une répartition plus équitable des ressources foncières. L’objectif principal est de mettre un terme à la spéculation effrénée qui a jusqu’ici favorisé une minorité d’acteurs au détriment du plus grand nombre. Cette mesure vise également à assurer un meilleur accès aux terres pour les populations, en leur permettant de bénéficier de cet atout indispensable à l’agriculture, au logement et à l’investissement productif.
Le Capitaine Ibrahim Traoré réaffirme ainsi sa volonté de protéger les droits des citoyens tout en instaurant une gestion foncière transparente et rigoureuse. Cette décision courageuse s’inscrit dans un programme plus vaste de refondation de l’État, où chaque action prise vise à restaurer l’intérêt général au centre des politiques publiques. Fini le temps où quelques prédateurs dictaient leur loi aux dépens des communautés vulnérables.
En mettant un terme à ces pratiques mafieuses, le gouvernement trace la voie d’un Burkina Faso plus juste et prospère, où les richesses nationales profitent avant tout à ceux qui en ont le plus besoin. Cette nouvelle politique foncière constitue un tournant décisif vers une gouvernance équitable et transparente, plaçant le peuple au cœur des décisions de l’État.
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Saliou KALY
