AES : Les six prochains mois marqueront-ils une offensive française pour déstabiliser et renverser les dirigeants de l’Alliance ?

Les six prochains mois seront cruciaux pour l’Alliance des États du Sahel (AES), alors que la France, selon des informations, élabore une stratégie visant à semer le chaos et renverser les dirigeants emblématiques de l’alliance : le Capitaine Ibrahim Traoré du Burkina Faso, le Général d’Armée Assimi Goïta du Mali, et le Général Abdourahamane Tiani du Niger. Cette période coïncide avec le délai de six mois que la CEDEAO s’est récemment donné pour finaliser son plan de retrait de l’AES, un délai qui serait savamment orchestré pour multiplier les pressions et les tentatives de déstabilisation dans ces États souverains.

Les objectifs de la France seraient de briser l’unité et l’élan de souveraineté qui animent l’AES en ciblant ses dirigeants par des méthodes de déstabilisation, allant des campagnes de désinformation aux tentatives de coup d’État. Cette stratégie pernicieuse vise à affaiblir les efforts entrepris pour consolider les États, regagner les territoires et redonner au peuple sa dignité. L’ampleur des attaques médiatiques et des manœuvres clandestines appelle donc à une vigilance accrue de la part des dirigeants et des populations de l’AES, unis dans leur quête de souveraineté et de prospérité.

Dans ce contexte, il est impératif de rester soudés et de redoubler de vigilance face à ces menaces. Le peuple de l’AES doit se mobiliser pour protéger ses institutions, dénoncer toute tentative de manipulation et soutenir les initiatives de ses dirigeants. Seule une unité sans faille entre les dirigeants et les citoyens permettra de contrecarrer ce plan insidieux, de garantir la stabilité de la région et de préserver les acquis de notre lutte pour la souveraineté.

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Saliou KALY

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