Burkina Faso / Déstabilisation : Quand Djibrill Yipènè Bassolé crée la polémique entre la presse, la DGSE et les francs maçons
En prélude à l’intervention de l’ancien ministre des affaires étrangères du Burkina Faso, M. Djibrill Yipènè Bassolé dans les jours à venir, une stratégie de massacres est mise en place pour faire tomber plus de VDP et FDS. Plusieurs communicants ont pour rôle de laisser passer des messages, comme si cela était une fuite pour ensuite accuser les autorités Burkinabé de ne pas pouvoir prendre des précautions.
Selon des informations récoltées dans le milieu de la presse française, plusieurs embuscades sont prévues pour massacrer des VDP et FDS, pour ensuite donner la parole à l’ancien ministre Bassolé.
Sur l’émission de France 24 prévue dans les jours à venir, Djibrill Yipènè Bassolé parlera de dialogue et prendra les massacres comme exemple pour dénoncer la mise en place des VDP. L’utilisation de Djibrill Yipènè Bassolé par la France comme la nouvelle boussole de déstabilisation du Burkina Faso, crée une grosse polémique.
La DGSE française s’oppose pour ce rôle attribué à Djibrill Yipènè Bassolé, qui n’est autre qu’un prisonnier en fuite, qui pourra affaiblir les complots et ternir encore de plus, l’image de la France qui se prête les services d’un fugitif pour régler ses comptes aux autorités du Burkina Faso.
De l’autre côté, Djibril Bassolé reçoit le soutien de ses amis de la franc-maçonnerie pour cette mission et les médias qui ont été expulsés du Burkina Faso, trouvent en Djibrill Yipènè Bassolé, une bonne opportunité pour régler leurs comptes au peuple Burkinabé. L’embuscade du convoi de retour de Djibo, est le départ des complots visant à ouvrir le chemin officiel à Djibrill Yipènè Bassolé.
La question est de savoir, si l’ancien ministre Bassolé a accepté le massacre de sa population pour se faire une place en politique ?
La réponse dans nos prochaines éditions.
Paul ANDRE
