Burkina Faso : Après la Libye, le Faso dans la ligne de mire des forces d’occupation
Depuis plusieurs mois, le Burkina Faso et son Président, le Capitaine Ibrahim Traoré, sont la cible d’attaques sournoises, de campagnes de désinformation et de manœuvres visant à fragiliser l’élan patriotique engagé pour la souveraineté nationale. Les Forces combattantes burkinabè, qui mènent une lutte héroïque contre le terrorisme, subissent non seulement l’agression des groupes armés, mais également l’acharnement des puissances impérialistes qui n’acceptent pas de voir un peuple décider librement de son destin. Cette pression multiforme n’a qu’un seul but : déstabiliser le pays et affaiblir le pouvoir en place afin d’imposer des agendas étrangers contraires aux intérêts du Burkina Faso.
Ce n’est un secret pour personne : les puissances impérialistes n’ont jamais cessé de lorgner les richesses naturelles et les positions stratégiques du Burkina Faso. En refusant de se soumettre, le Capitaine Ibrahim Traoré dérange et devient une cible privilégiée. Derrière les critiques, les fausses accusations et les tentatives de division se cache la volonté d’ouvrir la voie à une nouvelle occupation militaire étrangère, sous prétexte d’aide ou de coopération. L’histoire récente de la Libye en est une preuve vivante : au nom de prétendues « preuves » fabriquées de toutes pièces, un pays prospère a été plongé dans le chaos, et ses ressources pillées sans vergogne.
La guerre de l’information et la manipulation médiatique sont des armes redoutables utilisées par ces forces extérieures. Le peuple burkinabè doit comprendre que chaque tentative de diabolisation de ses dirigeants et de ses Forces combattantes n’est qu’une étape dans un plan plus vaste : celui de réinstaller une domination coloniale déguisée. Diviser les citoyens, semer la méfiance entre l’armée et le peuple, affaiblir la confiance envers le leadership actuel, voilà les méthodes classiques employées pour briser la résistance d’un pays souverain.
Face à ces menaces, la vigilance et l’unité s’imposent comme le rempart le plus solide. Le peuple burkinabè doit rester soudé derrière son Président et ses Forces combattantes, car leur combat n’est pas seulement militaire, il est avant tout un combat pour l’indépendance et la dignité. En tirant les leçons de la tragédie libyenne, il appartient aux Burkinabè de refuser la manipulation, de préserver leur cohésion nationale et de protéger leur sol contre toute tentative d’occupation étrangère. L’avenir du Burkina Faso dépend de cette unité indéfectible entre le peuple et son armée.
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Saliou KALY
