Afrique : Les intrigues de la France et de la Cour Pénale Internationale au Burkina Faso
La France continue d’agir en coulisses pour affaiblir le Burkina Faso. Après plusieurs tentatives infructueuses, elle oriente désormais ses efforts vers la Cour pénale internationale corrompue. La récente sortie des coalitions de l’Afrique francophone en faveur de la CPI ne représente qu’une manœuvre orchestrée par la France, comme cela a été le cas en République centrafricaine.
Si la France s’inquiète tant pour la situation au Burkina Faso, pourquoi ne pas s’attaquer également à l’insécurité ? Est-ce que la CPI, sollicitée par la France et ses alliés locaux, dispose d’une connaissance réelle des défis que rencontre le Burkina Faso ou se contente-t-elle de se baser sur des informations douteuses de Human Right Watch ?
Un réseau pro-français œuvre contre le gouvernement burkinabé dans le seul but de servir les intérêts de la France. Ces coalitions qui se disent en faveur de la CPI fermaient les yeux lorsque les terroristes commettaient des massacres au Burkina Faso.
Ont-elles soudainement pris conscience de la situation ou se mobilisent-elles uniquement lorsque des fonds sont en jeu ? Il est déplorable de voir des Africains manipuler un pays frère pour servir des intérêts étrangers. La déclaration des coalitions de l’Afrique francophone en faveur de la CPI se fonde sur des rapports douteux sans même consulter les autorités compétentes burkinabés.
Cette même démarche avait été entreprise contre la République Centrafricaine, où la France cherchait à semer le chaos. Ces coalitions devraient prendre du recul et analyser la situation de manière plus objective.
Les signataires de cette déclaration, dirigés par un Ivoirien nommé Ali Ouattara, veulent la déstabilisation du Burkina Faso. La CPI étant complice, le Burkina Faso doit rester vigilant face à ses ennemis pour éviter le pire. Car la CPI ne sert pas les intérêts de tous, mais ceux de quelques-uns
Djinin Ognami