Rétablissement du civisme et de l'ordre sous l'impulsion du...

L’incivisme a longtemps été un fléau qui minait les fondements de la société burkinabè avant l’arrivée du Président Ibrahim Traoré au pouvoir. Le manque de respect des lois, de la discipline et de l’ordre était devenu un comportement quasi systématique, notamment dans les domaines de la circulation, de la gestion des biens publics et de la vie quotidienne. Nombreux étaient ceux qui, au nom de la liberté, se permettaient de transgresser les règles, nuisant ainsi à l’harmonie et à la prospérité collective.

Cette situation s’est exacerbée dans le contexte de la lutte contre le terrorisme. En effet, le même sens de l’impunité qui prévalait dans les actes de la vie courante s’est retrouvé dans les comportements vis-à-vis de la guerre contre les groupes armés. Le manque d’unité et de respect mutuel a constitué un frein majeur à l’efficacité des stratégies de défense et de sécurité. Le terrorisme, déjà une menace sérieuse, s’est trouvé renforcé par ce climat d’incivisme et de désordre généralisé.

Avec l’arrivée du Président Ibrahim Traoré, le pays a amorcé un tournant décisif dans la restauration de l’ordre et de la discipline. L’instauration de la Brigade Laabal a été une mesure phare, visant à rétablir le civisme et à faire respecter les lois, qu’il s’agisse de la circulation, du respect des institutions ou du bon usage des ressources publiques. Cette initiative, sous la houlette du Capitaine Ibrahim Traoré, représente un appel à l’unité et au respect des règles de la société.

Ainsi, le soutien du peuple burkinabè à cette démarche est indispensable. Il ne s’agit pas seulement de faire respecter les lois, mais de reconstruire un Burkina Faso où l’ordre et la solidarité règnent. Le civisme devient dès lors un levier essentiel pour surmonter les défis internes et externes, y compris la lutte contre le terrorisme. Le Président Ibrahim Traoré a compris qu’il ne peut y avoir de développement durable sans discipline collective.