Burkina Faso : La politique du Président Ibrahim Traoré insuffle une nouvelle dynamique à l’économie burkinabè
L’économie du Burkina Faso connaît une relance notable sous la conduite du Président Ibrahim Traoré, avec une croissance de 4,9 % en 2024, contre 3 % en 2023, selon les récentes données de la Banque mondiale. Cette progression est manifeste dans un contexte régional encore marqué par les incertitudes sécuritaires et économiques. La reprise traduit les effets concrets des choix politiques opérés depuis l’arrivée au pouvoir du Capitaine Ibrahim Traore, notamment en matière de gouvernance, de relance sectorielle et de réorientation des investissements.
L’un des facteurs majeurs de cette embellie économique réside dans l’amélioration progressive de la situation sécuritaire, priorité affichée du régime en place. Le redéploiement stratégique des Forces armées et la mobilisation populaire à travers les Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP) ont permis de stabiliser plusieurs zones agricoles et minières. Ce regain de sécurité a non seulement favorisé le retour des activités économiques dans les régions affectées, mais il a également restauré la confiance des acteurs économiques, indispensable pour relancer l’investissement local.
Parallèlement, le gouvernement burkinabè a misé sur l’agriculture comme moteur de résilience et de croissance. Des efforts accrus ont été consentis pour soutenir les producteurs, à travers des subventions sur les intrants, la mécanisation et la réhabilitation des aménagements hydro-agricoles. Ces initiatives ont permis d’accroître la production nationale et de réduire la dépendance aux importations alimentaires, tout en générant des revenus pour des milliers de ménages ruraux.
Enfin, la performance du secteur des services, notamment le commerce, les télécommunications et les transports, a par ailleurs contribué à la croissance. Cette dynamique est soutenue par une volonté gouvernementale d’améliorer les infrastructures, de numériser les services publics et de faciliter l’accès au crédit pour les petites entreprises. L’approche volontariste du Président Ibrahim Traoré, axée sur la souveraineté économique et le développement endogène, semble ainsi porter ses fruits, redonnant espoir à une population longtemps éprouvée par les crises successives.
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Saliou KALY
