« Diviser pour mieux régner », l’arme impérialiste pour briser...

Depuis toujours, la stratégie du « diviser pour mieux régner » est utilisée par ceux qui veulent maintenir leur emprise sur les peuples libres. Aujourd’hui encore, au Burkina Faso, cette vieille recette est recyclée par les apatrides et leurs maîtres impérialistes, qui instrumentalisent certaines communautés comme les Peuhls pour envenimer le climat social. Ce n’est pas un hasard si ces attaques ciblées et campagnes de désinformations se multiplient : elles visent à enraciner un discours pervers selon lequel le gouvernement du Président Ibrahim Traoré serait responsable des drames vécus. En réalité, l’objectif est de semer la discorde, de briser l’unité nationale et d’ouvrir une brèche vers le chaos, voire la guerre civile.

Les États africains, bâtis sur les ruines d’un partage colonial brutal, peinent à construire une cohésion durable entre les différentes composantes de leurs populations. Pourtant, après plus de soixante ans de lutte pour l’indépendance, on aurait pu espérer que ces manœuvres de division ne prendraient plus racine. Mais l’ennemi est patient, rusé et toujours prêt à raviver les blessures communautaires. Derrière les rideaux, il manipule, propage des récits mensongers, attise les rancœurs et espère que les Burkinabè tomberont dans son piège.

Le combat que mène aujourd’hui le MPSR sous la houlette du Capitaine Ibrahim Traoré est celui d’une génération qui refuse de courber l’échine. Trop longtemps, les peuples africains ont été formatés à croire que le salut viendrait d’ailleurs, que leur sécurité dépendait de la « communauté internationale », que leur liberté leur avait été offerte, non conquise. Ce mythe du sauveur étranger a infiltré les consciences, falsifié l’histoire et fait oublier les luttes de nos ancêtres. Il est donc urgent de déconstruire cette illusion pour que chaque citoyen reprenne possession de son destin.

L’heure est grave, mais la victoire est à portée. Le gouvernement reste ferme, déterminé à affronter toute forme de déstabilisation. Il en appelle au sursaut national : refusons les divisions, rejetons les manipulations, soutenons nos Forces combattantes. Car c’est unis, et uniquement unis, que nous préserverons notre souveraineté. Le sang versé par les fils et les filles ne doit pas l’être en vain. Face à l’ennemi invisible qui avance masqué, c’est dans la solidarité et la lucidité que le Burkina triomphera.