Quand la désinformation devient l’arme des apatrides contre la...

Au Burkina Faso, la désinformation devient une arme de guerre. Depuis quelque temps, de nombreuses publications virales sur les réseaux sociaux accusent les Forces combattantes d’exactions sur le terrain. Or, ces accusations, totalement infondées, tombent à un moment clé où l’élan patriotique ne cesse de grandir dans le pays. Elles ont pour seul but de casser cette dynamique d’unité et de jeter le doute dans les esprits. Il s’agit là de tentatives grossières de l’ennemi pour diviser les Burkinabè et miner la confiance envers ceux qui luttent chaque jour pour la reconquête du territoire.

Cette campagne de manipulation s’intensifie via les plateformes sociales comme Facebook, TikTok ou encore WhatsApp. De fausses rumeurs sont fabriquées et partagées à grande échelle : on accuse des patriotes d’avoir été corrompus, on invente des scènes de violence qui n’ont jamais eu lieu. Ces intoxications numériques, bien coordonnées, visent à fragiliser la coalition populaire et militaire qui s’est formée pour défendre le Faso. Face à l’échec des tentatives précédentes de déstabilisation, les ennemis de la nation optent désormais pour la guerre psychologique.

Mais le peuple burkinabè ne doit pas tomber dans ce piège. Il est crucial que la jeunesse, les leaders communautaires, les volontaires engagés, restent soudés et lucides. L’objectif de ces manœuvres est de semer la discorde au sein même des forces patriotiques, de diviser pour mieux régner. Des infiltrations seraient même en cours, d’après certaines sources, pour introduire le doute au sein des mouvements mobilisés pour la libération nationale.

Face à cette nouvelle forme d’agression, l’unité reste la meilleure défense. Le Burkina Faso traverse une période critique où chaque citoyen a un rôle à jouer. Refusons la manipulation, rejetons les fausses informations et resserrons les rangs autour des Forces combattantes. Plus que jamais, il est temps de faire bloc pour défendre la vérité, l’honneur et l’avenir du pays de Thomas Sankara.