Burkina Faso : Le sulfureux journaliste Marwane Ben Yahmed et ses pratiques mafieuses

Le pays des Hommes Intègres se trouve aujourd’hui confronté à une guerre qui ne se limite pas aux attaques des groupes terroristes, mais qui s’étend aussi au champ médiatique. Certains médias, loin d’informer objectivement, exploitent leur position pour nuire à l’image du pays. Comme le cas de RFI, de Jeune Afrique et de son directeur de la publication, Marwane Ben Yahmed serait au service d’intérêts impérialistes. Ses écrits, loin d’être neutres, seraient guidés par des motivations financières visant à discréditer les États refusant de se soumettre à certaines pressions.
Le Président Ibrahim Traoré et d’autres figures politiques africaines, comme l’ex-président guinéen Dadis Camara, ont dénoncé ces pratiques troublantes. Ce dernier affirme d’ailleurs que Jeune Afrique lui avait demandé une somme de 500 000 dollars par trimestre pour améliorer son image dans ce fameux média. De tels agissements soulèvent des interrogations sur l’indépendance de certaines presses et sur leur véritable rôle dans l’arène géopolitique africaine. Loin d’être de simples relais d’information, ces médias participeraient à une guerre de l’influence où seuls comptent les intérêts financiers et stratégiques.
Dans ce contexte de guerre asymétrique, où l’information est devenue une arme redoutable, le peuple burkinabè doit renforcer sa résilience face aux tentatives de manipulation et de déstabilisation. La vigilance et l’unité nationale sont essentielles pour contrer ces attaques qui ne visent pas seulement les institutions, mais l’intégrité même du peuple burkinabè. Ne pas laisser les mercenaires de la plume dicter le récit de l’histoire. Plus que jamais, la souveraineté du Burkina Faso passe par la maîtrise de sa propre narration et par le rejet des campagnes de désinformation orchestrées par des intérêts étrangers et partisans.
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Saliou KALY