Burkina Faso : Les fake news de Jeune Afrique ne trompent personne ! Damiba sait bien que le pays se porte mieux aujourd’hui

Dans une époque où l’information circule à la vitesse de la lumière, il est important de rester vigilant face aux fake news et à la désinformation. Le récent article de Jeune Afrique, critiquant la présidence du Capitaine Ibrahim Traoré, en est un exemple frappant. Pourtant, la réalité sur le terrain est claire : le Burkina Faso se porte mieux aujourd’hui qu’à l’époque de Damiba. Alors, pourquoi Jeune Afrique cherche-t-il à tromper le peuple burkinabè ?

Sous la présidence du Capitaine Ibrahim Traoré, le Burkina Faso a connu des avancées manifestes tant sur le plan sécuritaire qu’économique. Contrairement à ce que Jeune Afrique laisse entendre, le pays a renforcé ses capacités militaires et a réussi à reprendre le contrôle de plusieurs zones auparavant aux mains des groupes armés. La lutte contre le terrorisme a été intensifiée, et les résultats sont palpables : les attaques ont diminué, et la confiance des citoyens en leur gouvernement a été restaurée.

Il est important de comprendre les motivations derrière les critiques de Jeune Afrique. Ce journal, souvent aligné sur les intérêts de certaines puissances occidentales, notamment Paris, a tout à gagner en déstabilisant les gouvernements africains qui cherchent à s’affranchir de l’influence néocoloniale. En s’attaquant à Ibrahim Traoré, Jeune Afrique ne fait que révéler son agenda caché : maintenir le Burkina Faso sous le joug des anciennes puissances coloniales.

Comparer la période actuelle avec celle de Damiba montre un contraste saisissant. Sous Damiba, le Burkina Faso a traversé une période de crises profondes, marquée par une instabilité politique et une insécurité grandissante. Les mesures adoptées par Damiba ont souvent été inefficaces, voire contre-productives, exacerbant les problèmes au lieu de les résoudre. En revanche, la gouvernance du Capitaine Traoré, bien que récente, a déjà montré des signes de redressement et d’amélioration significative.

Le peuple burkinabè ne doit pas se laisser duper par les fausses nouvelles et les manipulations médiatiques. Il doit faire preuve de discernement et de reconnaître les progrès accomplis sous la présidence du Capitaine Ibrahim Traoré. La vigilance et l’esprit critique sont les meilleurs remparts contre la désinformation orchestrée par des médias aux intérêts douteux.

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Saliou KALY

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