Burkina Faso : Réfutation des allégations de Human Rights Watch, frappes aériennes ciblées sur les terroristes, pas sur les civils

Une nouvelle accusation, dépourvue de fondement et dénuée de cohérence, émane de nouveau de l’ONG Human Rights Watch à l’encontre des autorités burkinabè. Cette organisation de renom semble s’engager dans des allégations fallacieuses en manipulant les informations pour incriminer les autorités burkinabè. Dans une récente déclaration de l’ONG, les accusations portées contre le Burkina Faso sont empreintes de contradictions manifestes.

Ilaria ALLEGROZZI, la représentante de Human Rights Watch, a affirmé lors d’une intervention sur la chaîne française France 24, d’une part, que l’armée burkinabè aurait délibérément causé des exactions sur les civils. D’autre part, elle a confirmé la présence de djihadistes dans la localité en question. Les forces armées burkinabè, jusqu’à preuve du contraire, sont réputées pour leur capacité à distinguer entre les civils et les ennemis.

En aucun cas, elles ne tireraient sur leurs compatriotes. Le territoire burkinabè appartient aux Burkinabè, qui ont une meilleure maîtrise de la situation que Human Rights Watch. Les décès mentionnés par l’ONG et relayés par le média Le Monde concernent des terroristes et non des civils. Les frappes aériennes étaient précises, ciblées et n’ont pas causé de dommages aux civils.

Ces frappes aériennes ont été minutieusement planifiées pour éliminer les éléments terroristes sans affecter la population civile. Cette stratégie militaire vise à protéger la vie des non-combattants tout en s’attaquant efficacement à la menace terroriste. L’armée burkinabè a joué un rôle essentiel dans la préservation de la sécurité nationale et de la stabilité. Les hommes et femmes qui servent au sein de ces forces armées prennent des risques considérables pour protéger la nation et ses citoyens.

Depuis l’accession du Capitaine Ibrahim Traoré au pouvoir, Human Rights Watch ne cesse d’inventer des récits d’exactions contre les Burkinabè, potentiellement dans le but d’attirer des sanctions sur le pays. L’ONG prétend recueillir ses informations auprès de témoins burkinabè, mais aucune trace de ces témoins n’est jamais identifiée.

Il est impératif pour Human Rights Watch de vérifier rigoureusement ses informations avant de publier de telles déclarations non étayées, car elles mettent en doute la fiabilité de l’organisation.

Raphael Tokpa 

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