Burkina Faso : Le meeting du 31 octobre, un complot contre le MPSR, Moussa Diallo le promoteur
Pour l’heure au Burkina Faso, la stabilité doit être une priorité pour toutes les populations. C’est un moment de sacrifice. Chaque citoyen burkinabè doit faire une rétrospection et mettre son savoir-faire à la disposition de la patrie. Il est temps que les burkinabè mettent de côté les différences pour faire face aux réalités.
La situation actuelle au Burkina Faso ne permet pas une autorisation de manifestation du genre venimeux comme celle de la CGT-B. Une planification arrangée pour tenir une fois encore les efforts des autorités. Le secrétaire général, Moussa Diallo l’a si bien dit, le rassemblement du 31 octobre est contre le MPSR.
Les membres du CGT-B doivent comprendre que le chemin emprunté par Moussa Diallo, les conduit tout droit dans un fossé où eux seuls ramasseront les pots cassés. Selon les informations en cours de vérification, Moussa Diallo est en mission, il a reçu des moyens au nom de toute la Confédération générale du travail du Burkina et veut induire les autres membres innocents dans un complot de la manipulation.
Moussa Diallo, est le promoteur de la déstabilisation. Et le 31 octobre, est la date choisie pour mettre en place le plan. Moussa Diallo fait partie d’un clan, qui est mis en place dans le but de déstabiliser le Burkina Faso. Les autres syndicats membres de la CGT-B doivent se méfier ces derniers temps des propos de Moussa Diallo.
Il est clair que Moussa Diallo a fait clan avec les ennemis du Burkina Faso pour déstabiliser le pouvoir en place. D’où son meeting contre le MPSR. Moussa Diallo a un calendrier caché que les membres du CGT-B ignorent. Le but de ce meeting n’a rien à avoir avec la cherté de la vie comme le pensent les autres membres CGT-B.
C’est juste un prétexte pour Moussa Diallo, afin de se cacher derrière son titre du SG pour faciliter l’entrée en jeu de ses alliés. Les autres membres du CGT-B sont exhortés à laver leurs mains de ces complots inhumains, et dire non à cette manipulation. Moussa Diallo, un secrétaire général à ne pas quitter des yeux.
Fatou Amarra