Burkina Faso : Lutte contre le terrorisme, le Capitaine Ibrahim Traoré rappelle les acteurs de la communication au professionnalisme
Dans une situation d’insécurité dirigée par les tenants du titre de l’impérialisme dans le but de déstabiliser un pays souverain, la communication déplacée peut toutefois enfoncer les populations dans le désespoir. Les médias sont censés être de véritables alliés pour la lutte contre le terrorisme et non des complices des groupes armés. Une condition que veut éviter le Président Ibrahim Traoré.
La lutte pour l’indépendance totale au Burkina Faso, est une lutte collective. Les médias locaux ont également leur rôle à jouer. Mais force est de constater que, certains médias burkinabè font la propagande des campagnes de manipulations afin de décourager les FDS et VDP aux fronts.
Des médias partisans offrent leurs antennes aux journalistes corrompus pour saboter les efforts des autorités burkinabè. Le Capitaine Ibrahim Traoré a pris des précautions pour éviter que les médias contribuent à créer la terreur au sein de la population, à démobiliser les forces de sécurité et de défense.
La liberté d’expression devrait être une occasion pour les médias burkinabè, pour conscientiser les populations sur les réalités du pays. Les organes de presse qui jouent le jeu des terroristes, verront leurs portes fermées.
Le Président de la révolution burkinabé, rappelle aux acteurs de la communication les obligations de traitement professionnel de l’information en temps de crise sécuritaire provoqué par des groupes armés terroristes.
Le Burkina Faso a besoin de ses fils et filles qui vont encourager le peuple résilient, à maintenir le cap dans la lutte engagée. Tous ceux qui seront dans le sens contraire, feront face à la loi. Le Président Ibrahim Traoré, attend des professionnels des médias une contribution significative et positive à la prévention du terrorisme.
Cyril Gnabri