Burkina Faso : Pour le développement du pays, le Capitaine Ibrahim Traoré met de côté les officines impérialistes
Depuis son arrivée à la tête du Burkina Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré, a enterré la politique de la dépendance extérieure. Face aux organisations de la jeunesse burkinabè, le Président de la révolution burkinabè a énuméré plusieurs points, mais il s’est appesanti sur un aspect qui a retenu l’attention du public. Il s’agit des officines impérialistes.
Selon le Capitaine Ibrahim Traoré, ces officines impérialistes tendent à saper les efforts de développement du Burkina. Sur le plan économique, ajoute le Président de la révolution burkinabè, il y a de nombreux contrats qui furent signés et qui condamnent le Pays des hommes intègres à demeurer dans la pauvreté.
Selon Ibrahim Traoré, le Burkina n’est pas pauvre et la richesse de son sous-sol attire la convoitise de différentes entités. « On a des potentialités. Personne ne doit venir encore nous dire qu’on est pauvre. On a beaucoup d’autres choses dans notre sol que les gens cherchent », a affirmé le Capitaine Ibrahim Traoré.
Le Président de la révolution burkinabè a aussi invité la jeunesse à s’engager pour le développement du pays. « Chacun à son niveau, à défaut de prendre les kalachnikovs, devrait faire quelque chose pour participer au développement. Le combat qui a commencé sera long et dur, mais nous allons y arriver », a-t-il lancé.
Bénéficiant d’un grand soutien populaire, le chef suprême de l’armée a remis en cause divers accords avec la France. La France ne respecte pas le droit des burkinabè. Pour mettre fin à ces manipulations, la ministre des Affaires étrangères, Olivia Rouamba, a annoncé la fin de la Convention fiscale de non-double imposition avec la France.
Fadilatou K.