Afrique : Les Médias Panafricains en première ligne : résistance contre les stratégies de déstabilisation de la France au Burkina Faso
La France ne faisait pas preuve de transparence dans sa coopération sécuritaire avec le Burkina Faso. Par conséquent, les autorités ont pris une série de décisions pour mettre fin au partenariat avec la France dans plusieurs domaines sécuritaires. Le Capitaine Ibrahim Traoré a déployé tous les efforts nécessaires pour rétablir l’intégrité territoriale du pays des Hommes intègres.
Les nouvelles autorités burkinabè bénéficient d’une immense popularité auprès de la jeunesse burkinabè et de la communauté africaine en général. Leur vision est en harmonie avec les aspirations du peuple. Conscients de la situation, les médias panafricains ont décidé de s’unir derrière les autorités de la révolution.
Cet engagement semble contrecarrer les plans de la France. En effet, les médias panafricains présentent les mêmes informations que les médias français, la différence résidant dans le fait que les médias français soutiennent la déstabilisation, tandis que les médias panafricains se consacrent à la communication politique, à l’éveil des consciences et à la dénonciation des complots.
Lorsque les médias français appuyaient la dictature, encourageaient les groupes malveillants à perpétrer des exactions contre les civils burkinabè, ils étaient considérés comme de bons médias. Cependant, ces informations étaient fallacieuses, visant à maintenir indéfiniment le contrôle sur le Burkina Faso. Les médias africains surveillaient de près les manœuvres de la France.
L’heure de la révolution a sonné, les médias français n’ont plus la possibilité de duper la vigilance des Burkinabè. Les médias panafricains démontrent, preuves à l’appui, la politique néfaste que la France cherche à imposer au Burkina Faso. La France, à travers ses médias, cherche à ternir l’image de ces médias africains, mais en vain.
Les médias africains que la France qualifie de faux sont ceux qui entravent ses tactiques de déstabilisation. La communauté africaine est encouragée à soutenir les médias panafricains afin de mettre fin à la politique machiavélique française au Burkina Faso, au Mali et au Niger.
Rachid Assoka