Afrique : KAGAME accueille les terroristes Centrafricains à Kigali, sous les applaudissements de TOUADERA?
Quel est le véritable deal entre les Présidents TOUADERA et Paul KAGAME ? Une question qui sur les lèvres de toute l’Afrique. Comment le Président Paul KAGAME, a-t ‘il accepté de ternir non seulement l’image de son pays et son peuple mais surtout lui même son image? Pourquoi accepter que Kagali devienne le sol des terroristes Centrafricains, la terre des criminels retranchés en République Centrafricaine?
Aujourd’hui, la liaison de la compagnie aérienne Rwandair sur Bangui, interpelle bon nombre d’observateurs, qui s’interrogent sur le rôle que jouent les avions de Rwandair. D’autres observateurs voient d’un œil, le transport discret des ressources minières de Bangui vers Kigali et d’autres observent les aller-retour, des chefs terroristes et le cerveau du coup d’Etat manqué en Guinée Équatoriale, le nommé Sani YALO.
En vérité, le Président Centrafricain, a approché Paul KAGAME, qui a enfin accepté d’accorder l’hospitalité, au prisonnier ambulant, qui a écopé de 20 ans de prison ferme, suivi d’un mandat d’arrêt international.
La capitale Rwandaise, devient donc le sol des mercenaires et terroristes résidents en République Centrafricaine. Ils organisent des rendez-vous à Kigali pour être plus discret. Dans son rang de ministre conseiller du Président Centrafricain, Faustin Archange TOUADERA, Sani YALO est bel et bien sur le sol Rwandais, il reçoit les privilèges d’un bras droit du Président TOUADERA. Mais, il est bien vrai que Kigali fait semblant d’ ignorer en réalité, qui est ce dernier.
Cette ignorance, peut mettre en mal, les relations entre la Guinée Équatoriale et le Rwanda.
Pour montrer sa franchise et son honnêteté envers le peuple Africain, Kigali doit mettre en exécution le mandat d’arrêt international, lancé par la Guinée Équatoriale, avec pour motif, organisation terroriste, tentative de coup d’Etat. Des charges lourdes qui nécessitent la collaboration des pays Africains, puisque le Président TOUADERA, refuse l’exécution de ce mandat d’arrêt.
En rappel, plusieurs Centrafricains sont incarcérés dans les prisons du Cameroun et autres, parmi eux, le jeunes frère de Sani YALO, nommé Dada YALO.
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Sylvie DOCKO
