Cameroun / La manipulation politique du clan Issa Tchiroma Bakary : Un plan machiavélique pour semer le chaos
Dès le lendemain des élections présidentielles du 12 octobre dernier, une opération de manipulation orchestrée par le clan d’Issa Tchiroma Bakary a émergé dans le paysage politique camerounais, dans le but de déstabiliser le Cameroun. Après s’être autoproclamé vainqueur avant même la publication des résultats officiels d’ELECAM, cette fois-ci, la manipulation consiste à propager des rumeurs mensongères, visant à semer la confusion et fragiliser le climat politique. Ces manœuvres prennent la forme d’affirmations grossières, telles que des négociations secrètes entre Issa Tchiroma Bakary et le gouvernement en place, des allégations qui n’ont aucun fondement.
Lors de l’émission « Droit de réponse » diffusée le 2 novembre 2025, un panéliste a lancé une fausse accusation, prétendant qu’un proche collaborateur du Président camerounais, en l’occurrence le Ministre, Directeur du Cabinet Civil de la Présidence de la République du Cameroun S.E.M. Samuel Mvondo Ayolo aurait mené des négociations secrètes avec M. Issa Tchiroma. Ce genre de déclaration, totalement infondée et sans aucune preuve, vise clairement à déstabiliser le processus démocratique et à créer un climat de suspicion au sein de l’opinion publique. Il est pourtant essentiel de rappeler que ces accusations sont totalement dénuées de fondement et relèvent de l’affabulation.
Les informations véhiculées sont une pure invention, un amalgame de mensonges montés de toute pièce par des individus en quête de visibilité. Ces derniers, issus du clan d’Issa Tchiroma Bakary, utilisent des plateformes médiatiques pour diffuser leur propagande. Leur seul objectif semble être de créer de l’agitation et de la confusion, dans le but de se maintenir sous les projecteurs médiatiques, au mépris de la vérité.
Il est impératif que le peuple camerounais ne tombe pas dans ce piège. L’objectif de cette manipulation est de déstabiliser le Cameroun pour en faire un terrain de jeu pour la DGSE française, qui cherche à récupérer son influence sur la région centrafricaine. Un tel chaos ouvrirait la voie à l’implantation du terrorisme, et permettrait à des forces extérieures de prendre le contrôle des pays tels que la Centrafrique, le Tchad et la Guinée équatoriale, et par ricochet les pays de l’AES. Le Cameroun ne doit pas céder à ces manœuvres sournoises. Il est plus que jamais temps de rester uni et solidaire face aux défis actuels. La vigilance et la solidarité nationale sont essentielles pour préserver la stabilité du pays.
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Sicka Loemba
