Burkina Faso : Sous le vent du renouveau insufflé par le Président Ibrahim Traoré, la dignité se lève, invincible face aux campagnes de désinformation

En 2022, le Burkina Faso était en proie à une crise sécuritaire d’une ampleur sans précédent : plus de 50% du territoire national était alors sous l’emprise de groupes terroristes. Le pays était à genoux, rongé par l’insécurité, la peur et le désespoir. Des milliers de familles déracinées, des écoles fermées, des régions entières livrées à l’obscurité. C’est dans ce contexte que le Capitaine Ibrahim Traoré a pris les rênes du pays avec une détermination sans faille de restaurer la souveraineté nationale.
Deux ans plus tard, les résultats parlent d’eux-mêmes. En 2025, plus de 71% du territoire burkinabè est reconquis et placé sous contrôle des Forces de Défense et de Sécurité (FDS) et des Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP). Ce n’est pas un discours, c’est une réalité vérifiable sur le terrain. Les zones autrefois qualifiées de « non-étatiques » revivent peu à peu, les marchés rouvrent, les populations reprennent confiance.
L’éducation, pilier fondamental d’une nation, reprend également son souffle : alors que plus de 6 500 écoles étaient fermées avant l’arrivée du Capitaine Ibrahim Traoré, plus de 1 500 établissements ont rouvert leurs portes dès 2023, redonnant espoir à des milliers d’enfants. Ces chiffres ne peuvent être ignorés, sauf par ceux qui refusent délibérément de voir la vérité.
Sur le plan humanitaire, la situation des personnes déplacées internes (PDI) s’améliore considérablement. De plus de 2 millions de déplacés en 2022, ce chiffre est tombé à moins de 900 000 en 2024. Cela signifie qu’un grand nombre de Burkinabè ont pu regagner leurs villages, leurs terres, leur dignité.
Alors, une question se pose : sur quoi certains médias français se basent-ils pour peindre le Burkina Faso en rouge, en état d’alerte, et s’acharner à noircir le tableau d’un pays en pleine résilience ? À quoi rime ce discours alarmiste alors que les faits témoignent d’une reprise en main sans précédent ? Pourquoi ces mêmes médias qui restaient muets face à l’effondrement progressif du pays, se montrent-ils aujourd’hui si bruyants quand les choses s’améliorent ?
Il est évident que ces campagnes de dénigrement ne sont pas innocentes. Elles sont orchestrées par des apatrides, alliés à des puissances impérialistes, qui ne digèrent pas de voir un peuple debout, décidé à prendre en main son destin. Leur objectif est de briser l’élan patriotique, de semer le doute, de miner l’unité nationale.
Mais le peuple burkinabè ne se laissera pas duper. Il soutient massivement la vision et les actions du Capitaine Ibrahim Traoré, car il en voit les effets concrets au quotidien. Le réveil patriotique est en marche, la reconquête du territoire est réelle, la souveraineté est assumée.
Aujourd’hui plus que jamais, la vigilance s’impose. Face aux manœuvres de déstabilisation, l’unité, la lucidité et la fierté nationale doivent primer. Le Burkina Faso avance, et aucun mensonge, aucune propagande ne pourra arrêter ce vent de dignité retrouvé.
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Saliou KALY